Estero del Ibera, point d'accès par la Colonia Carlos Peligrini...un petit village 8 par 8, où chacun a son petit terrain entre ces rues de terres rouges, une catastrophe après chaque déluge. Je pensais y rester 1 ou 2 jours, j'y suis rester 5.
Peligrini, on y vient pour aller observer la faune de près, très près. Carpinchos ou capibara si vous préférer, Yacaré ou caiman noir, plus de 300 espèces d'oiseaux, 2 petits cerfs et les singes hurleurs.
Peligrini, on y découvre un côté magique par ce contact rapproché, 1 ou 2 pieds des caimans, casi-touché aux carpinchos...
Peligrini, on y découvre des villageois fiers et reposés, des familles ouvertes comme si on serait un de leur membre.
Peligrini, on y repars dans l'idée d'y revenir...
Estero del Ibera...Ibera en langue guaraní (les indiens de la région, du Paraguay et d'une partie importante du sud brésilien...jadis....) signifie "Eau brillante". Au clair de la pleine lune on constate d'où vient le nom, mais on réalise après quelques jours a Peligrini, que ce qui y brille c'est d'autant plus la joie de vivre, le regard animé des gens, l'enthousiasme de vivre dans ce que l'on pourrait appeler un paradis terrestre.
Le biologiste en moi s'est vu fasciné par le changement de mentalité de Peligrini. On y chassait avec rigueur le caiman, le carpincho et les cerfs...les populations étaient presque éteintes...les chasseurs avaient développer un art, une expertise face à ces animaux et à la région. 1983, le gouvernement de la province de Corrientes crée la Réserve Estero del Ibera...on ne se limite pas à un faible zone, mais on utilise bien l'ensemble de la lagune et de ses côtes...on utilise le savoir, le savoir-faire et l'expertise des chasseurs...on les converti en garde-parcs. Nul ne connait mieux la lagune, nul ne peut parfaire mieux à la tâche. La chasse cesse, la réserve ne s'ouvre pas au tourisme...les animaux n'ont plus à vivre en un régime de survie, les populations augmentent, se stabilisent entre elles, la nature reprend la tête du pouvoir à l'Estero del Ibera. Les années passent et 15 ans plus tard on ouvre les portes au tourisme, le village demeure le même ou presque, mais en y facilitant la venue des touristes nationaux et étrangers. Estero del Ibera devient un lieu magique où la rencontre avec la vie sauvage est sans pareil.
Je crois qu'ici quelques fotos s'imposent !!
Balade en canoe, marche directement à l'estero!
Peligrini, on y vient pour aller observer la faune de près, très près. Carpinchos ou capibara si vous préférer, Yacaré ou caiman noir, plus de 300 espèces d'oiseaux, 2 petits cerfs et les singes hurleurs.
Peligrini, on y découvre un côté magique par ce contact rapproché, 1 ou 2 pieds des caimans, casi-touché aux carpinchos...
Peligrini, on y découvre des villageois fiers et reposés, des familles ouvertes comme si on serait un de leur membre.
Peligrini, on y repars dans l'idée d'y revenir...
Estero del Ibera...Ibera en langue guaraní (les indiens de la région, du Paraguay et d'une partie importante du sud brésilien...jadis....) signifie "Eau brillante". Au clair de la pleine lune on constate d'où vient le nom, mais on réalise après quelques jours a Peligrini, que ce qui y brille c'est d'autant plus la joie de vivre, le regard animé des gens, l'enthousiasme de vivre dans ce que l'on pourrait appeler un paradis terrestre.
Le biologiste en moi s'est vu fasciné par le changement de mentalité de Peligrini. On y chassait avec rigueur le caiman, le carpincho et les cerfs...les populations étaient presque éteintes...les chasseurs avaient développer un art, une expertise face à ces animaux et à la région. 1983, le gouvernement de la province de Corrientes crée la Réserve Estero del Ibera...on ne se limite pas à un faible zone, mais on utilise bien l'ensemble de la lagune et de ses côtes...on utilise le savoir, le savoir-faire et l'expertise des chasseurs...on les converti en garde-parcs. Nul ne connait mieux la lagune, nul ne peut parfaire mieux à la tâche. La chasse cesse, la réserve ne s'ouvre pas au tourisme...les animaux n'ont plus à vivre en un régime de survie, les populations augmentent, se stabilisent entre elles, la nature reprend la tête du pouvoir à l'Estero del Ibera. Les années passent et 15 ans plus tard on ouvre les portes au tourisme, le village demeure le même ou presque, mais en y facilitant la venue des touristes nationaux et étrangers. Estero del Ibera devient un lieu magique où la rencontre avec la vie sauvage est sans pareil.
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